Au secours !!!!!!

Aidez-nous à collecter 50 000 dollars pour contrer et empêcher 390 mariages d’enfants et unions précoces des adolescentes filles autochtones en situation de déplacement forcé (personnes déplacées internes) due aux conflits intercommunautaires et pour et aider à retrouver l’honneur et la dignité et aussi reconstruire la vie à 160 survivantes de mariages forcés et d'unions précoces.

Nous travaillons sur la mission de militer pour la reconnaissance et promotion de droits des filles et jeunes femmes ( y compris les filles et femmes autochtones/minorités ethniques en particulier) dans une vision féministe globale d’égalité des sexes, d’autonomisation, de la participation politique de la femme et de justice écologique et climatique tenant compte du genre et des diversités identitaires et sexuelles et dans un monde où les filles et les jeunes femmes autochtones sont autonomisées, font entendre et amplifier leur voix et accéder équitablement aux ressources et aux opportunités, tout en étant à l’abri de toutes formes des violences, de la discrimination, des pratiques néfastes et des effets du changement climatique sur l’égalité des sexes et le développement durable. A travers nos différentes interventions complètes en matière d’éducation sexuelle, à la prise en charge holistique des cas des violences sexuelles, à la communication au changement social et comportemental, à l’accès à la santé et aux droits sexuels et reproductifs, au leadership féminin précoce et à l’autonomisation des filles. 1726 adolescentes et jeunes filles autochtones ont été formées et capables de défendre leurs droits sexuels, leur autodéfense collective et individuelle et leur résilience face aux différentes formes violences basées sur le genre, us et coutumes et aux pratiques néfaste grâce à l'engagement et la sensibilisation des 90 adolescentes féministes autochtones dans l'éducation de leurs pairs dans les milieux scolaires et communautaires ; 90 adolescentes féministes autochtones ont joué un rôle actif dans les campagnes de plaidoyer pour les droits à la santé sexuelle et reproductive des adolescents et des jeunes ; 427 adolescentes et jeunes femmes autochtones survivantes de mariages forcés et unions précoces ont bénéficié de services de santé sexuelle et reproductive. 123 d'entre elles ont été récupérées et réinsérées dans le milieu scolaire, tandis que 304 vivant en union ou rentrés, se sont réinsérés dans la vie socioprofessionnelle grâce à des formations aux métiers. Depuis la création de l’organisation en 2020, dans les activités particulièrement dans une approche centrée sur les filles et les jeunes femmes, un total de 4377 adolescentes, filles et jeunes femmes, hommes et garçons ont été directement et positivement impactés par les programmes de notre organisation. Un programme complet d’éducation sexuelle centré sur les adolescentes (10 à 19 ans) tout au long du projet semble prometteur. Grâce aux activités du club, les pairs éducateurs aideront leurs pairs (720) à prendre conscience de leurs droits sexuels et reproductifs, à développer leurs potentiels et à faire face aux pressions sociales tout en étant susceptibles de réclamer des services, des ressources et des produits de santé sexuelle et reproductive pour revendiquer leurs droits d’ici fin 2025. Des paires éducatrices modèles (25 actrices du changement) seront identifiées parmi les jeunes femmes et filles et dans la communauté pour agir avec les adolescentes leaders dans les processus de transformation du genre et des normes de genre. Ainsi, de plus en plus de parents, de membres de la famille et de la communauté rejetteront ces pratiques néfastes et soutiendront les adolescentes dans l’exercice de leurs droits et la réalisation de leur potentiel, d’ici fin 2025. Grace à ce financement, nous répondrons aux besoins des 203 adolescentes ayant survécu à un mariage précoce et/ou forcé, des centres d’accompagnement des adolescentes confrontées au mariage d’enfants seront ouverts pour les accueillir, les écouter, les conseiller et les prendre en charge sur le plan psychologique, sanitaire, éducatif, socio-économique et juridique. Ainsi, en union ou non, ces adolescentes pourront reconstruire leur vie détruite en rejoignant les toits familiaux, en réintégrant la vie scolaire et professionnelle, en recouvrant leur santé reproductive, tout en étant susceptibles d’affronter les cycles perpétuels d’exploitation, de harcèlement, d’abus et de violences atroces d’ici 2025.